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Si vous avez passé la journée sur LinkedIn

  • Covid : Gabriel Attal confirme qu'il n'y a pas "à ce stade de mesure supplémentaire prévue" et prévient que si "le confinement n'est pas une fatalité", la situation reste "fragile"
  • Le président italien charge officiellement Mario Draghi (ex président de la BCE de 2011 à 2019) de former un nouveau gouvernement "d'unité"
  • L'International Air Transport Association (IATA) annonce que le nombre de passagers transportés par les compagnies aériennes dans le monde a chuté de 66% en 2020 soit "le plus gros choc que le secteur ait jamais vécu"
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Mauvaise note

Pour la démocratie. The Economist Intelligence Unit publie aujourd’hui son index annuel de l’état de la démocratie dans le monde (167 pays notés sur 5 critères)… et, surprise, le Covid et son cortège de restrictions de libertés se font bien sentir. A 5,4 (sur 10, la note maximale) de moyenne, la démocratie n’a jamais été aussi faible dans le monde (depuis 2006, premier classement du genre). Seulement 8,4% de la population mondiale vit désormais en "démocratie complète" contre 36% sous un régime autoritaire.

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Mauvaise note (bis)

Décidément, ce n’est pas notre journée ! Attaqué pour ne pas avoir tenu ses engagements climatiques par des associations (dont Oxfam ou Greenpeace, regroupées dans le collectif "l’Affaire du Siècle"), l’Etat français se voit condamné pour "faute" par la justice administrative qui le reconnaît coupable de ne pas avoir tenu les objectifs de réduction de gaz à effet de serre qu’il s’est fixés, causant ainsi "un préjudice écologique". Une première.

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30 second MBA : On va vous expliquer !

"Il ne comprend pas, je vais lui expliquer". Combien de fois n’avez-vous pas entendu – et prononcé – ces mots ? On veut persuader par les faits, les arguments, les chiffres. Et on croit, bien sûr, que plus les arguments sont percutants, plus ils emportent la conviction

C’est compter sans la réactance, le puissant mécanisme de défense psychologique qui se déclenche quand nous nous sentons menacés dans des croyances importantes. Exemple sur le sujet brûlant de la vaccination : démonter méthodiquement les arguments anti-vaccins rend les parents moins disposés à vacciner leurs enfants. Et plus le message indique clairement qu’il n’y a "aucun risque", plus l’auditoire pense que le risque est important ! Bref, comme dans la chanson : "a man hears what he wants to hear, and disregards the rest"

Déprimant ? Non. L’enseignement qu’on peut en tirer vaut aussi pour des sujets moins délicats : "taper plus fort" ne sert à rien. Empiler les arguments, c’est parfait… pour ceux qui partagent déjà votre avis, et qui seront rassurés sur votre diligence et votre loyauté. Pour toucher les autres, il faut s’y prendre autrement. A suivre… mais, déjà, à méditer avant votre prochain tweet !

Tous les mercredis, Olivier Sibony (ex-senior partner chez McKinsey, prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

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Time To Seazon !

Oui, il est temps ! Temps de prendre du plaisir, de prendre soin de soi ... et pourquoi pas de la planète : Time to Seazon ! Seazon ? Le premier abonnement sans engagement de plats frais livrés pour la semaine. Des recettes cuisinées maison par des chef.fes à partir d'ingrédients bruts, sans additifs ni conservateurs, des étiquettes qui indiquent l'Eco-score, et une carte à 50% végétarienne... A partir de 6,64€/plat, livraison chez vous, partout en France.

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Un excellent sujet de dîner

L’Ifop (pour Charles.co) publie aujourd’hui une vaste -- et très intéressante -- enquête sur l’évolution de l’épilation en France. Elle pointe en particulier une double tendance en matière d’épilation intime féminine : un doublement -- en 8 ans -- du nombre femmes pratiquant "l’intégrale" (24% aujourd’hui vs 14% en 2013) et parallèlement un doublement également des adeptes du "no shave" (la proportion de femmes déclarant ne pas s’épiler du tout le pubis est passée de 15 à 28%). 

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