Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !

Si vous avez passé la journée à cheval

  • Coronavirus : Emmanuel Macron déclare qu'il va falloir apprendre à "vivre durablement avec le virus" car ceux qui promettent "un vaccin pour mars ou avril prochain vous trompent". Olivier Véran annonce que des nouvelles restrictions à Paris seront prises "dès lundi" si la situation continuait de se dégrader d'ici dimanche
  • Haut-Karabakh : dans un communiqué conjoint, la France, les US et la Russie appellent l'Arménie et l'Azerbaïdjan à "cesser immédiatement les hostilités" et à "s’engager sans délai à reprendre les négociations" 
  • Brexit : la Commission européenne lance une procédure d'infraction à l'encontre du UK pour forcer Londres à retirer sur son projet de loi revenant en partie sur l'accord de sortie de l'UE signé l'an dernier
Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Wait and see

C’est ainsi qu’on pourrait résumer la nouvelle approche du gouvernement face à l’accélération de l’épidémie de Covid dans les villes en "alerte renforcée" (Paris, Lyon, Toulouse ou Lille). En clair, cette fois on associe les élus locaux - reçus ce matin par Castex - pour éviter de revivre la fronde marseillaise et on leur laisse 10 jours supplémentaires (un peu moins pour Paris) pour voir si les mesures annoncées la semaine dernière (fermeture des restaurants à partir de 22h et des salles de sport, rassemblements < 10 personnes)...

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

42 – 54 = ?

Vous y arrivez ? Bravo vous êtes plus fort/e que vos enfants, niveau CM2 ! Le ministère de l’Education nationale publie aujourd’hui son étude sur l’évaluation des élèves en maths. Argh ! 54 % des élèves (CM2) ont des acquis "fragiles", voire insuffisants en mathématiques… ils étaient 42% en 2014. En particulier "l’utilisation des retenues dans la soustraction n’est pas acquise"… faites-leur calculer à quel point le niveau s’est dégradé entre 2014 et 2020…

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

L’autre épidémie (est terrible)

Bien sûr ce soir les conversations sont au tour de vis sanitaire (cf. plus haut), mais sans en contester la nécessité, mesurons-en aussi le coût. Il est terrible.

Le baromètre Ipsos/Secours Populaire (SP) publié hier est sans appel : en matière de revenus des Français, le confinement a eu des conséquences "rares en temps de paix". Loin du refrain sur les ménages épargnés par le ralentissement éco (merci le chômage partiel) le SP fait le constat suivant : si "près de la moitié des Français ont mis de l’argent de côté – plutôt des hommes, cadres et franciliens", 43% disent avoir perdu une partie de leur revenus, 16% qualifiant cette perte d’"importante" et 38% disent avoir fait l’expérience de la pauvreté.

La pauvreté qu’est que c’est ? Pour les Français reportant une baisse importante de leurs revenus post Covid, c’est à 43% se restreindre "parfois" ou "souvent" sur les aliments consommés. Se priver de nourriture !

Le pire ? La scolarisation des enfants : si – dans la population générale – les parents d’élèves considèrent à 15% que leurs enfants ont accumulé un retard "irrattrapable" pendant le confinement…

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

Cogedim : l'investissement le plus sûr...

... en période de crise et de taux bas, cela restera toujours l'immobilier. Un placement sécurisé et offrant des garanties de rentabilité. Notamment dans les résidences étudiantes. La preuve, cette résidence Cogedim réalisée en plein cœur du nouveau centre-ville de Bobigny, à proximité des écoles/universités et accessible directement en métro/tram. Du studio aux 2 pièces, tout est pensé pour répondre aux besoins des jeunes en incluant un large choix de services notamment des espaces partagés.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Lire au lit (spécial Octobre Rose)

"Ma grand-mère a eu quatre filles et ces quatre filles avaient de gros seins. Partout où elle allait, sa couvée la suivait. Mémé Berthe, flanquée de ses quatre filles, marchait fièrement, buste en avant, comme pour un assaut à l’abordage. La mère avançait en proue et les filles profitaient du sillage de la mère. Les promeneurs s’écartaient devant elles, comme la mer rouge devant Moïse". Monique Ayoun – Histoire de mes seins (2004)

Pendant tout ce mois d’Octobre Rose, chaque jeudi nous vous lisons un passage de ce livre merveilleux (et délicieusement illustré par Wolinski) qu’est Histoire de me seins.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn