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Si vous avez passé la journée en campagne

  • Alors que selon le Canard Enchainé, Edouard Philippe se dit "circonspect" face aux propositions de la Convention Citoyenne pour le Climat, Elisabeth Borne (Min. Ecologie) affirme à l'Assemblée que "certaines (des) propositions ont vocation à être transmises sans filtre au Parlement, voire en référendum"
  • La préfecture de police de Paris instaure la "circulation différenciée" (= seuls les véhicules les moins polluants sont autorisés à circuler) à partir de demain (jeudi) à Paris et dans la petite couronne en raison d'un pic de pollution à l'ozone 
  • Le FMI prévient que la crise du Covid-19 aura un "impact plus négatif qu’anticipé" dans le monde et que la reprise "devrait être plus graduelle que prévu auparavant"
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Ça se confirme

Quoi donc ? Cet "air d’été" sur l’économie française dont nous vous parlions hier (quoi qu’en pense le FMI, cf plus haut). Aujourd’hui l’Insee nous apprend que l'indicateur du climat des affaires (= l’humeur des patrons) est remonté en juin à 78. Certes, c’est bien en-deçà de sa moyenne de long terme (100) mais il s’agit tout de même du plus fort rebond mensuel (+18 points) enregistré depuis la création de cet indice en 1980. Optimisme estival.

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Ça se confirme (bis)

Quoi donc ? Qu’on aura du mal à tenir nos engagements en matière de réduction des gaz à effet de serre (GES) même avec l’aide -- historique -- de 2 mois de confinement : on apprend ce matin que les émissions de GES ont baissé de 1% en 2019 après -4% en 2018. Bonne nouvelle, la tendance devrait se poursuivre en 2020 "compte tenu de la crise du Covid-19". Mais problème : pour respecter ses objectifs, la France va devoir baisser ses émissions d’au moins 2,3%/an jusqu’en 2023. Sans confinement

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30 second MBA : première impression, première erreur...

Les premières impressions, ça compte. Et on a parfois tendance à trop s’y fier. Mais en principe, le problème est limité aux cas où l’on juge des gens ou des situations sur un coup d’œil. Quand on fait un travail analytique solide, et quand on a intérêt à ce que le résultat soit juste, on est capable de prendre du recul, non ?

Et bien non, justement. C’est du moins ce que suggère une étude fraîchement publiée par la Review of Finance sur les analystes actions. Quand, dans l’année précédant la première note d’un analyste, une entreprise a nettement sur- ou sous-performé par rapport à son secteur, l'analyste a une bonne ou une mauvaise première impression. Celle-ci colore-t-elle son jugement, même après tout le travail d'investigation qu'il va faire ?  

Sur la base de 1 643 089 notes d’analystes, la réponse est nette. L'effet "première impression" affecte assez la notation pour expliquer 10% de l'erreur de prévision. Surtout, il dure : environ 2 ans quand la première impression est positive, au moins 6 ans quand elle est négative !

Faut-il, alors, se méfier des analystes actions ? Ou de nos premières impressions ? A vous de voir…

Tous les mercredis, Olivier Sibony (ex-senior partner chez McKinsey, prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

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Nespresso : disons-le tout net

Championne de la pollution la capsule Nespresso ? Non ! En utilisant une machine à café Nespresso, vous consommez la dose précise de café (une matière qui vient de loin) dont votre tasse a besoin, sans gâchis et via une machine à la fois économe en eau et en énergie. Si on prend l’ensemble du cycle de vie du café, de la culture à la capsule recyclée, une tasse de café Nespresso a une empreinte carbone similaire à celle du café filtre... 

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On est tellement d'accord

… avec cette étude américaine selon laquelle LA (ou en tout cas une) recette du bonheur à deux est de dormir nus. 58% des couples qui passent la nuit al fresco se déclarent heureux, c'est 15 points de plus que chez leurs homologues dormant (ou pas) en pyjama ou en nuisette... Des chiffres d'autant plus crédibles que l'enquête a été commanditée par l'association Cotton USA ! 

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