Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !

Si vous avez passé la journée face à vous préparer

  • Coronavirus : 5 nouveaux cas identifiés entre hier et aujourd'hui en France dont une personne décédée (un enseignant de l'Oise qui ne s'était pourtant pas rendu dans "une zone à risque"). C'est la première victime de nationalité française depuis le début de l'épidémie 
  • Edouard Philippe déclare qu'il fera "usage de l'ensemble des prérogatives qu'offre pour un chef de gouvernement la Constitution" (comprendre le 49.3) pour mener à bien la réforme des retraites
  • Alors que Bruno Le Maire déclare que la dette est "le point noir" des finances publiques françaises, la Commission européenne affirme que celle-ci devrait augmenter "légèrement" en France en 2020 
Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Question de définition

On respire un peu, l'OMS révèle ce matin que seuls 10 nouveaux cas de coronavirus ont été recensés aujourd’hui en Chine en dehors de la province du Hubei (épicentre du virus), preuve de l’efficacité des mesures de quarantaine. Mieux, le patron de l’OMS affirme que le virus peut toujours "être contenu" et qu’il ne faut pas parler de "pandémie" (= une épidémie qui se "propage dans le monde entier"). Pourtant l’OMS annonce également ce matin que pour la 1ère fois depuis le début de l’épidémie ...

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Ça commence à tousser

Plombé par les mauvaises nouvelles liées au coronavirus, le CAC 40 a chuté de près de 2,7% aujourd'hui en séance avant de revenir dans le vert en fin de journée (+0,1%). Mais c'est pas la joie pour autant : en 8 jours, l'indice a chuté de près de 10% (c'était -20% lors de la crise du SRAS en 2002-2003) et retrouvé son niveau d'octobre dernier. Et du côté des marchés US, c’est pas beaucoup mieux, depuis lundi, les entreprises composant le S&P 500 (indice phare US)...

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

30 second MBA : La revanche des grincheux

Et si la mauvaise humeur pouvait vous rendre plus efficace ? Joseph Forgas, un chercheur australien, a consacré des dizaines d’articles aux effets de l’humeur sur la prise de décision. Et les résultats ont de quoi surprendre.

Bien sûr, l’humeur modifie d’abord le contenu de nos pensées et de nos analyses : un incident mineur, qu’une personne bien disposée ignorera, semblera sérieux à celle qui s’est levée du mauvais pied. Mais l’humeur influe aussi sur notre manière de traiter l’information. Et là, les grincheux prennent l’avantage. 

Explication : l’humeur guillerette encourage la pensée automatique du "Système 1", ce qui nous peut nous rendre trop conciliants. Be happy = don't worry ! Au contraire, quand vous êtes de mauvaise humeur, vous utilisez plus votre "Système 2", celui de la pensée formelle, voire critique. Résultat : moins d’erreurs de mémorisation, moins de crédulité, plus de résistance aux tentatives de manipulation... Bref, vous réfléchissez mieux, à tel point que -- contre toute attente -- vous êtes même moins sensibles aux stéréotypes racistes quand vous êtes de mauvaise humeur !

La conclusion s’impose : avant la prochaine réunion stratégique, lancez la TTSO Ultimate Depression Playlist. Comme dit Forgas : Don’t worry, be sad ! 

Tous les mercredis, Olivier Sibony (ex-senior partner chez McKinsey, prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

Malakoff Humanis : accompagner les fragilités

Parce que le monde du travail ne fonctionne pas en vase clos, les fragilités des salariés (maladie grave, handicap, situation d’aidant, endettement financier...) constituent une réalité qui touche plus de la moitié des salariés et la quasi-totalité des entreprises. Avec le "Diagnostic Fragilités", Malakoff Humanis permet d’identifier ces fragilités, souvent difficiles à détecter par crainte, pour les dirigeants, d’être intrusifs, et, pour les salariés, d’être stigmatisés...

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

On espère ne pas en arriver là

Coronavirus oblige, vous hésitez désormais à faire la bise à votre collègue enrhumé/e ou pire à embrasser votre partenaire ? Bonne nouvelle, Bloomberg rappelle que la seule reco de l’OMS à ce sujet reste -- pour le moment -- d’éviter tout contact physique avec une personne présentant des symptômes ... sauf que Bloomberg nous apprend également que de plus en plus de virologistes plaident désormais l'interdiction des bisous/calins afin de limiter la propagation du coronavirus. 

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn