Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !

Si vous avez passé la journée dehors

  • La Cour d'appel de Paris ordonne la libération de Patrick Balkany jugeant que son état de santé est "difficilement compatible avec la détention” (le verdict de son procès en appel est attendu pour le 22 avril)
  • Nissan porte plainte contre Carlos Ghosn au Japon afin de récupérer plus de 83M€, soit une "partie significative" des présumés dommages causés par la "mauvaise conduite" et les "activités frauduleuses" de sa part
  • Devant les députés rassemblés à l'Elysée hier soir, Macron confesse : "un moment difficile du quinquennat (…) il n’y a plus la force de propulsion du départ (…) les oppositions sont plus fortes" (lire sujet suivant)
Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Le temps qu'il reste

N'allez pas croire en lisant les déclarations de Macron ci-dessus que le président broie du noir ! Pas du tout, Le Monde explique qu'hier soir il a aussi révélé quels seraient les axes prioritaires des 26 mois qu'il lui reste à l'Elysée et de sa campagne de 2022 : 1) le régalien et en particulier les sujets d’immigration, de "sécurité du quotidien" et de "lutte contre les séparatismes" ... 2) et en même temps®, l'écologie "à parité avec le régalien".

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

30 second MBA : La puissance du groupthink

A l’exception de Mitt Romney, tous les sénateurs républicains ont voté l’acquittement de Trump. Beaucoup, pourtant, avaient des doutes : ils les ont étouffés. Si vous avez déjà été dans la même situation, vous connaissez le problème : la pensée de groupe, ou groupthink.

Comment, dans un groupe, l’avis majoritaire devient-il unanime ? Le premier ressort, bien sûr, est celui auquel on pense tout de suite : la pression sociale, voire la peur des représailles (déjà, Romney raconte qu’on l’insulte dans la rue)

Mais ce n’est pas tout. Celui qui se tait fait une anticipation logique : à quoi bon ? Puisqu’il n’y a aucune chance d’obtenir les 20 défections républicaines nécessaires pour condamner Trump, pourquoi prendre des coups inutiles ?

Enfin, un troisième mécanisme, le plus pervers : l’ajustement rationnel. Je pense que Trump est coupable… mais tous mes collègues pensent le contraire, et je les respecte. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis en écoutant les autres ! Je peux donc me persuader que ce n’est pas par lâcheté que je retourne ma veste : c’est par honnêteté intellectuelle.

C’est la combinaison de ces trois phénomènes qui rend le groupthink si difficile à combattre. Et ceux qui y résistent d’autant plus admirables. 

Tous les mercredis, Olivier Sibony (ex-senior partner chez McKinsey, prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

Malakoff Humanis : réduire l'absentéisme

Au cours des 12 derniers mois, 44% des salariés français se sont vu prescrire un arrêt maladie. Autrement dit près d'un salarié sur deux. Pour faire face à cet enjeu majeur de société, Malakoff Humanis a conçu le "Diagnostic Absentéisme", un outil qui permet d’analyser toutes les caractéristiques des arrêts maladie de votre entreprise -- y compris leurs coûts -- et de définir un plan d’actions personnalisées : actions de prévention santé, accompagnement du retour à l’emploi, etc. afin de faire baisser l'absentéisme. Durablement.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Une chance sur deux

Chose promise, chose dûe : on vous donne les résultats de notre Q d'hier soir, "Ferez-vous l'amour à la St Valentin". 1 500 réponses qui indiquent que, une fois retirés les célibataires (23% d'entre vous ont coché la réponse "Tu m'énerves TTSO, je n'ai pas de Valentin/e"), ça sera 50/50 ou quasi. 53% d'entre vous nous ayant répondu "non, je fais pas l'amour à date fixe" et 47% nous ayant affirmé que chez eux on fêterait la Saint-Valentin.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn