Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !

Si vous avez passé la journée en Suisse

Attentat en Turquie : le suspect arrêté lundi a avoué être l'auteur de l'attaque dans la discothèque – General Motors annonce un milliard de dollars d'investissements aux Etats-Unis et la création de 5.000 emplois avec notamment rapatriement de la production d'essieux du Mexique vers les US – L'Iran annonce qu'il refusera de "renégocier" l'accord nucléaire si Trump en fait la demande.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Davos : Jour 1

Voilà ce que vous avez raté aujourd'hui. Le discours du président chinois (Xi Jinping, qui assiste à l'évènement pour la 1ère fois). Le thème ? Il faut sauver le libre-échange. Citations : "Personne n’émergera en vainqueur d’une guerre commerciale", le protectionnisme "est à rebours de l'histoire" et il est vain "de blâmer la mondialisation". Donc, en 2017, c'est la Chine communiste qui défend le libre-échange menacé par les US. Le nouveau normal est quand même étonnant.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Prenez-le comme vous voulez

... mais c'est quand même très frappant. Buzzfeed reprend l'étude Ipsos-Mori réalisée en novembre 2015 sur le sentiment de déclassement dans 22 pays riches (dont la France). On y apprend entre autres que 49% des citoyens interrogés disent désirer un "leader fort" qui voudrait "casser les règles". 49%, c'est en moyenne, car pour certains pays cela monte plus haut, au point d'atteindre même un record de 80%... en France.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

Du hard. En clair.

Theresa May est donc sortie de l'ambiguïté aujourd'hui et annonce un hard Brexit. Il n'y avait pas d'autre solution.

Pourquoi ? Car la préoccupation n°1 exprimée par le vote de juin des Anglais était la maîtrise de l'immigration, or, sur ce point, l'UE a été très claire : si on n'accepte pas la libre circulation (des travailleurs européens), on ne peut pas faire partie du marché unique. Donc, fort logiquement...

May annonce aujourd'hui que : 1) Elle refuse un "statut de membre partiel ou associé de l’UE" : le UK va quitter le marché unique, c'est "clair et net". 2) A la place, le pays négociera un accord douanier avec l'UE. 3) Le changement se fera "par étape" pour éviter d'être "trop brutal (et) déstabilisant". 4) Et "le gouvernement soumettra l'accord final à un vote des deux chambres du Parlement".

Et pour conclure, May adresse une mise en garde à ceux qui veulent "punir" le UK : ils commettraient un "acte calamiteux d’auto-mutilation" et le PM prévient : "Pas d’accord avec l’UE sera préférable à un mauvais accord." Du hard.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

Cette année on va à New York (avec La Compagnie)

Pour le boulot. Parce que c'est indispensable. On y va aussi en classe affaires, avec un lounge, un siège lit, un service attentionné, un nombre de places réduit dans l'avion permettant des embarquements/débarquements rapides et un accès prioritaire aux contrôles. On y va avec La Compagnie, car à 30 à 50% moins cher que sur les compagnies traditionnelles, Paris-New York en business, ça n'est pas seulement rationnel, c'est indispensable (bis).

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

La Q de la semaine

Theresa May l'a donc annoncé : pour ce qui est de sortir de l'UE, la Grande-Bretagne opte pour la manière dure (voir plus haut). Nous ignorons bien entendu s'il s'agit d'une préférence personnelle du PM anglais et, si c'est le cas, si ce choix s'applique à tous les domaines... mais, en ce qui vous concerne, on voulait vous demander : Et vous, en matière de sexe, vous préférez quand c'est hard ou quand c'est soft ?

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn