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Si vous avez passé la journée à écouter le chant des fontaines

Le Parlement européen réclame l'activation "immédiate" de la procédure de retrait du Royaume-Uni de l'UE – Jeremy Corbyn perd la confiance du Labour (qui lui reproche de ne pas avoir assez fait campagne contre le Brexit) mais refuse de démissionner – Loi Travail : la 11ème manifestation rassemble entre 14.000 et 15.000 personnes à Paris selon la police. 55.000 selon FO (vs 60.000, toujours selon les syndicats, le 23/06).

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Pendant que vous parliez du Brexit

Le gouvernement a créé un nouvel impôt. Destiné au financement des régions, il aura la même base que la taxe foncière. Il devrait rapporter 600M€ prélevés (dès 2017) dans les poches des ménages propriétaires (comme d'hab) et des entreprises… ce qui est assez cocasse, car cet impôt était réclamé par les régions, notamment pour financer leurs aides aux PME. Nul doute que ces dernières goutent l'ironie de cette nouvelle blague fiscale.

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Sympa l'été !

Le porte-parole du syndicat SGP Police-FO annonce ce matin que, cet été, les CRS qui surveillent les plages seront autorisés à porter leur arme afin : 1) d'assurer leur propre sécurité, 2) "assurer la sécurité des baigneurs et être prêts à réagir en cas d'attaque armée sur une plage" (cf. Tunisie ou Côte d'Ivoire)... Sympa l'été !

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Brexit : les 4 options pour y échapper

Comme vous le savez, le Brexit on n'y croyait pas. Et pour être francs, 4 jours après le vote, on y croit toujours moyen. Le New York Times partage notre opinion et résume les 4 options ouvertes au successeur de Cameron pour revenir sur le LEAVE.

Option 1 : ignorer le vote. Comme nous l'avons déjà dit, le référendum n'oblige en rien le gouvernement britannique (seul la mise en oeuvre de l'article 50 de Traité de Lisbonne "active" le Brexit). Reste que, dans un pays à la tradition démocratique aussi forte que le UK, cette option paraît peu vraisemblable…

D'où l'intérêt de l'option 2 : le véto écossais. Toute décision de quitter l'Europe devra être approuvée par les Parlements d'Irlande du Nord, du Pays de Galle et… de l'Ecosse. Or celle-ci a voté à 60% pour le REMAIN. Un véto du Parlement écossais pourrait donc permettre au 1er Ministre de dire à son peuple qu'il lui est impossible d'exécuter sa volonté de quitter l'Europe.

Option 3 : le revote. C'est ce qu'ont fait (aussi sur des questions européennes) le Danemark en 1992 et les Irlandais en 2001 et 2008. L'idée ici pourrait être d'obtenir une concession importante de l'Europe (par ex sur l'immigration) et de demander aux Anglais : "dans ces conditions, do you (still) want to leave ?"

Option 4 : négocier un accord d'exit ne changeant -- en pratique -- rien aux conditions actuelles de l'association du UK à l'UE. Un doute cependant : les membres de l'UE risquent de ne pas être très disposés à un deal très favorable avec le UK… par peur de créer d'autres vocations sécessionnistes.

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La Q de la semaine

Depuis vendredi matin, nous ne cessons de le reconnaître : ce LEAVE des Anglais nous a totalement laissés sur le c… et en toute sincérité, nous n'avons pas l'impression d'être les seuls à n'avoir rien vu venir. Du coup, on se demandait : Dans un couple, pensez-vous qu'une rupture soit toujours prévisible ?

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