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Si vous avez passé la journée à garder espoir (malgré tout)

Le prix Nobel de la paix décerné conjointement à la Pakistanaise Malala Yousafzaï et à l'Indien Kailash Satyarthi (héros de la lutte contre l'exploitation des enfants) - Les djihadistes prennent le QG des forces kurdes dans le nord de Kobané. L'ONU appelle la Turquie à laisser les volontaires kurdes retourner en Syrie pour défendre leur ville - La première série de tests sur une femme, suspectée d'avoir Ebola et hospitalisée à Bichat, se révèle négative #ouf

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Ne réduisons pas Malala Yousafzai à la lutte contre les talibans

Sa clairvoyance et son courage s'appliquent aussi à nous. La preuve ? Quand en octobre 2013, elle rencontre Obama (dans le bureau ovale) voilà ce qu'elle lui dit. Face à face. Du haut de ses 16 ans. "Drone attacks are fueling terrorism. Innocent victims are killed in these acts, and they lead to resentment among the Pakistani people. If we refocus efforts on education it will make a big impact". Entendons aussi (et enfin) ce message.

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Trading Talk

Arrivée en France en septembre, Netflix inquiète les chaînes de télé traditionnelles. Saxo Banque pense qu'elle devrait aussi faire l'objet de prudence de la part des investisseurs. En 2 ans le titre a pris 530%. La market cap atteint 100x le CA. Or le développement de la société arrive à son terme aux US... et il va falloir financer l'expansion européenne. Au total un trou d'air à l'horizon 2016-2018 n'est pas à exclure. Correction envisagée : -25 à -30%. Prudence.

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La To Do du week-end

Oh le beau week-end qui nous attend !

Samedi, bien entendu, c'est à la Cinémathèque qu'il faudra nous guetter. Depuis mercredi, l'auguste maison accueille l'exposition Truffaut et nous nous y rendrons comme on va à la Mecque. De ce réalisateur nous connaissons toute la liturgie, et nous nous pencherons sur les reliques exposées avec l'extase des dévots. La rétrospective s'annonce si riche qu'il est impossible d'en tenter un inventaire. Nous savons néanmoins que nous chercherons le premier brouillon du scenario de L'Homme qui aimait les femmes, et une lettre de Truffaut à Alain Souchon, avec une émotion particulière. Nous conclurons la journée par le visionnage (toujours à la Cinémathèque / à 19h00) de Domicile Conjugal, le film que nous préférons dans la série des Antoine Doinel (au dessus de laquelle nous ne mettons pas grand chose).

Dimanche… oh dimanche, nous consulterons fébrilement le site de We Love Words. Pourquoi ? Car nous y lançons à partir d'aujourd'hui un concours de nouvelles érotiques. Oui, lectrices et lecteurs adorés, nous avons décidé d'en appeler à votre talent et à vos fantasmes (nous savons pouvoir compter sur la richesse des deux), couchez les donc ensemble (dans la position que vous souhaitez) sur papier et soumettez-les nous. Chaque lundi à partir de novembre nous désignerons un gagnant (ou, mieux, une gagnante) et publierons un extrait de son oeuvre dans TTSO (en renvoyant sur la page de We Love Words publiant le texte integral)... oh comme nous avons hâte de vous lire !

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C'est vendredi et vous l'avez bien mérité

Que ce soit à l'égard de l'actu ou à celui de votre vie professionnelle (familiale ?), si vous avez eu une semaine semblable à la notre, vous vous êtes plusieurs fois mentalement exclamé/e : WTF ?!... Il est assez vraisemblable que cette même expression soit celle qui vous vienne spontanément à l'esprit lors du visionnage (au demeurant fort réjouissant) de notre petite vidéo de ce soir. Enjoy ;-)

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La bande-son du week end : spéciale Modiano

On vous l'a dit hier, ce Nobel de Littérature nous comble. Entre autre parce que, auteur révéré, Modiano fut aussi le parolier d'une chanson charmante (Etonnez-moi Benoît) figurant dans l'un de nos deux albums favoris de Françoise Hardy (Comment te dire adieu. 1968)… autant dire l'un de nos deux albums favoris tout court. Un disque auquel nous avons décerné depuis bien longtemps notre petit prix Nobel personnel.

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