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Si vous avez passé la journée à attendre le week-end

Le Comité Colbert (qui regroupe les grandes marques de luxe françaises) s'inquiète de la montée de l'insécurité à Paris, "un enfer pour les touristes" - Les forces spéciales françaises sont intervenues au Niger pour y faire cesser la prise d'otages (situation stabilisée, 2 morts parmi les terroristes) - Craignant pour sa sécurité, Frigide Barjot ne devrait pas participer à la manifestation de dimanche.

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Un bachelier sur deux sera le premier de sa famille

Selon une étude Insee publiée aujourd'hui, 50% des bacheliers proviennent de familles dans lesquelles aucun des parents n'est titulaire du bac. Formidable, mais l'ascenseur social a du mal à monter plus haut. Les bacheliers "first generation", même quand ils sont très bons, vont moins vers les voies d'excellence que leurs congénères : 6% vont en prépa (vs 20% des autres bacheliers), 14% iront jusqu'au master (2x moins que les autres).

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Les entrepreneurs sont formidables

Keyyo, opérateur de la téléphonie sur IP pour entreprises, est avant tout un pionnier. Dès 2005, il fait le pari de la voix sur IP comme moyen de communication pour les entreprises. Dans un contexte marqué par la commoditisation des télécoms, Keyyo tire à présent parti de la révolution du Cloud Computing pour inventer de nouveaux services intégrant moyens de communication, outils de travail collaboratifs et environnement informatique. Une stratégie gagnante, en 2012, Keyyo est le seul opérateur français à avoir préservé sa marge et son CA.

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La To Do du week-end : FUN-NY-FACE

On a pas dû bien se comprendre. Dans notre To Do du 26 avril, nous vous conseillions de vous précipiter voir Funny Face. Nous étions dans la salle, et nous ne vous avons pas vus.

On reprend donc depuis le début. Funny Face (1957) est un film de Stanley Donen, sans doute le plus grand styliste hollywoodien des années 60. Audrey Hepburn y incarne une jeune libraire new-yorkaise précipitée, à son corps défendant, dans le monde de la mode. Fred Astair y campe un grand et charmant photographe... Tout ce petit monde se retrouvant à Paris... And guess what happens next...

Passons sur le sublime des décors et de la photo (à tomber), sur la beauté, la fraîcheur, toutes deux renversantes, d'Audrey Hepburn, sur la classe in-cro-yable d'Astair (les esthètes noteront ses costumes d'une élégance jamais égalée) ou la re-création merveilleuse du Paris existentialiste... et concentrons-nous sur l'essentiel. L'humour, la danse aérienne, les chansons et la musique (Gershwin à la manœuvre), l'absence absolue d'amertume et de réalisme : en un mot, le bonheur complet et irrésistible qui se saisit de vous pendant le spectacle et qui vous accompagne, bondissant, bien après que vous ayez quitté le cinéma...

... et dire que vous avez choisi d'ignorer tout ça ! Heureusement, ce week-end, la cinémathèque du Quartier latin a prévu deux séances (de rattrapage) : Samedi 19h00, Dimanche 18h00. Allez-y, allez-y, allez-y. C'est bien simple, nous nous engageons à rembourser le premier d'entre vous qui, étant allé voir le film, nous assurerait qu'il n'en n'est pas sorti HEU-REUX.

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C'est vendredi et vous l'avez bien mérité

Il y a longtemps, nous avons perdu Romy et nous sommes inconsolables. Plus récemment, c'est le printemps qui a disparu et nous sommes inquiets. Imaginez notre émotion quand nous les avons retrouvés tous les deux, unis et nus, sur un petit bout de film. A notre humble avis, une des plus belles et plus puissantes de nos sélections du vendredi. Enjoy ;-)

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La bande son du week-end : Ólafur Arnalds - For Now I Am Winter

Le titre même de cet album, "Pour l'instant, je suis l'hiver", suffirait presque à l'imposer tant il s'accorde avec nos humeurs du moment. Une musique "contemplative" selon Les Inrocks. Pour notre part, il nous a semblé qui ni la lumière ni le feu n'étaient absents de ces compositions islandaises.

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